Si vous avez affaire à une maison qui accumule des choses depuis des années et des années, l’idée de vendre peut sembler écrasante. Ci-dessous, nous vous proposons quelques conseils pour vous aider à vendre rapidement votre maison trop remplie d’objets à Pontivy, sans les coûts ou le stress auxquels vous pouvez vous attendre !
Être attaché à certains objets, c’est normal. Mais avoir du mal à jeter quoi que ce soit peut relever de la maladie mentale.
Est-ce parce qu’elle est emblématique d’une époque qui produit en masse, et vante l’acquisition d’objets tout en ne sachant quoi faire de ses déchets que la syllogomanie – étymologiquement «goût immodéré pour l’accumulation» – est devenue le trouble psychique le plus fascinant du moment?
C’est que le mal est multiforme. Il concernerait actuellement 2,3 à 4,6 % de la population générale, mais il attaque à des degrés variables et se retrouve autant dans des troubles mentaux comme la schizophrénie que dans des cas d’hyperactivité. Sous ses formes les plus légères, il amuse (le dressing de madame plein à ras bord). Mais il peut aussi devenir menaçant, quand peu à peu l’espace vital d’une famille dans sa maison se réduit.
La syllogomanie génère aussi, actuellement, des créations d’emplois, les «organizers coachs», qui aident des personnes de tous milieux sociaux se sentant «dépassées par leurs possessions» à ranger, trier… et jeter. Anouk Le Guillou, qui à travers sa société Place Nette offre ce type de service, est quotidiennement en prise directe avec ce trouble, qu’elle a appris à repérer… Et à mesurer. «On m’appelle en me disant “Au secours, j’ai un problème de placards”…, et peu à peu, en visitant l’appartement, je découvre qu’il y a trop d’objets partout.» Des vêtements empilés dans une baignoire dont on ne se sert plus, des piles de livres encombrant les escaliers jusqu’à ne laisser qu’un infime passage… «Seules, ces personnes ne savent plus comment s’en sortir, elles ont besoin d’une aide concrète pour oser jeter.»
Car le volet le plus prégnant de la maladie ne réside pas dans la «collectionnite aiguë» et l’obsession d’accumuler, ce qui la rapproche de l’addiction, mais plutôt dans l’incapacité à renoncer: «Tout mérite d’être gardé, observe Anouk le Guillou. Ce bibelot ébréché offert par une tante qu’on ne voit jamais, ces 12 bouteilles de savon liquide en promo au supermarché… Entre leurs attachements affectifs aux objets et leur peur de manquer, ces personnes se retrouvent incapables de faire des choix, et de jeter.»
Un trouble qui se transmet
Et puis, latente ou avérée, la dépression n’est jamais loin. Anouk Le Guillou considère que 60 à 65 % des clients qui font appel à ses services ont traversé de grosses périodes de déprime, ou sont en plein dedans. «Ils me le confient: ils se sont laissé envahir au moment où ils allaient mal, observe-t-elle, et n’en sont pas ressortis.»
Au départ, il peut y avoir un trauma déclencheur. Jessie Sholl, écrivain new-yorkaise et fille d’une accumulatrice compulsive, raconte dans son livre Dirty Secret (témoignage de sa propre survie dans un tel contexte) que sa mère avait certes toujours eu tendance à garder des bibelots, photos ou rubans pour, disait-elle, «donner libre cours un jour à sa créativité». Mais c’est au moment où cette artiste en herbe a perdu son compagnon depuis dix ans qu’elle «plongea» dans l’entassement. Pour sa fille, la maladie commence d’ailleurs quand une pièce de la maison familiale est sacrifiée à l’accumulation d’objets inutiles.
L’entourage des accumulateurs compulsifs s’exprime désormais et c’est une avancée parce que jusque-là ceux-ci étaient contraints au silence par la honte. Or, ce sont presque toujours eux qui peuvent diagnostiquer le trouble chez leur proche et prendre des mesures, en mettant des limites à son comportement, pour l’aider. De plus, on sait désormais que la syllogomanie se transmet dans les familles. De nombreux accumulateurs compulsifs, lorsqu’on le leur demande, peuvent parler d’un oncle ou d’un grand-père «ayant tendance à tout garder»…
S’organiser
Lorsque vous voyez tous les objets s’empiler, remplir les placards, les armoires et les pièces, vous pouvez vous sentir très dépassé. Il peut même être difficile de savoir par où commencer. Vous aurez envie de vous organiser de la manière qui a le plus de sens. Vous pouvez commencer par assembler des objets similaires. De cette façon, vous pouvez parcourir lesdits articles, déterminer ce qu’il faut donner et ce qu’il faut garder. Ou vous pouvez prévoir de parcourir la maison pièce par pièce, en décidant quoi faire avec les objets au fur et à mesure. Vous voudrez réserver un espace pour les articles que vous voulez emporter avec vous, ce que vous voulez vendre, ce que vous voulez donner et ce que vous voulez jeter à la poubelle. Non seulement vous devez organiser la maison, mais vous devrez également organiser votre plan d’attaque.
Soyez impitoyable
Beaucoup d’articles devront disparaître. Vous devez être préparé mentalement à cela avant de dire au revoir à vos affaires. Sachez que vos articles utilisables vont aux personnes qui en ont besoin. Si vous gardez beaucoup de choses à l’écart des sentiments, ce peut être une bonne idée de prendre des photos, qui peuvent être stockées numériquement, sans prendre de place. Même si vous décidez d’en imprimer quelques-uns, un album photo prend beaucoup moins de place que vos boîtes de trophées, de vieux vêtements et de livres que vous ne voulez pas oublier. Vous pouvez mettre en œuvre certaines des stratégies enseignées par Marie Kondo pour éliminer une fois pour toutes tout l’encombrement excessif. Vous devez être impitoyable et vous rappeler que les trucs ne sont que des trucs. Si vous voulez vraiment vendre votre maison sans l’aide d’un acheteur direct, vous constaterez peut-être que vous avez du travail à faire. Votre seule option est d’y entrer et de faire le travail.
Concentre-toi sur le bon
Si vous décidez de lister une maison qui accumule les objets, en la montrant avant que tout n’ait été nettoyé, vous devrez faire preuve de créativité dans votre présentation. Voir les tas de déchets qui se sont accumulés au fil du temps peut faire fuir de nombreuses personnes. Vous voulez aider vos acheteurs à voir ce qui peut être. Mettez en valeur les grandes fenêtres, la grande cour ou les nouveaux appareils électroménagers. Tout ce qui est génial dans la maison, assurez-vous qu’il est mis en évidence à l’avant et au centre. Les gens fondent une grande partie de leur décision d’achat sur leurs premières impressions de la propriété. Si vous vendez une maison qui accumule les objets à Pontivy de manière traditionnelle, vous voudrez faire tout votre possible pour que les impressions de votre acheteur potentiel sur la maison soient bonnes ! Lorsque vous mettez en évidence les bonnes choses de la maison, espérons-le, les moins bonnes choses ne sont pas aussi apparentes. Cela dit, vous devrez divulguer tout problème potentiel avec la maison à vos acheteurs potentiels, ne pas le faire peut être considéré comme une fraude.
Vendre la maison en l’état
Le moyen le plus rapide, le plus simple et le moins stressant de vendre une maison à Pontivy est de la vendre à un acheteur honnête, professionnel et expérimenté tel que Acheteur de Maisons Bretonnes. Lorsque vous nous vendez, nous ne conserverons que la maison telle quelle, peu importe ce que vous voulez laisser derrière vous. Nous nous occuperons de votre maison d’amasseur indésirable à Pontivy, de vos déchets et de tout le reste ! Vous serez en mesure de vendre la maison sans aucun nettoyage, réparation ou présentation de la propriété. Vous pouvez avoir tout le temps dont vous avez besoin pour nettoyer ce que vous souhaitez garder… nous concluerons dès que vous serez prêt.
Si vous devez vendre une maison qui accumule les objets à Pontivy, contactez notre équipe avant de vous engager avec un agent. Notre équipe veillera à ce que le processus de vente soit rapide et facile afin que vous puissiez vendre votre maison rapidement à Pontivy sans frais supplémentaires, sans tracas ni perte de temps !